UN/CEFACT : Ibrahima Diagne Nour Eddine Diagne élu rapporteur pour la région Afrique
L’administrateur général de Gaïndé 2000 Ibrahima Nour Eddine Diagne a été élu rapporteur pour la région Afrique lors la 21ème Session de la plénière du Centre des Nations Unies pour le Commerce électronique (UN/CEFACT).
Cette session a pris fin mardi au palais des Nations Unies à Genève, selon le communiqué reçu mercredi.
Le Centre des Nations Unis pour la facilitation du commerce et des transactions électroniques (UN/CEFACT) a été créé en tant que filiale de l’organisation inter-gouvernementale de la Commission économique pour l’Europe des Nations Unis (UNECE) sur le commerce, souligne le communiqué.
Le centre est ‘’chargé d’élaborer un programme de pertinence mondiale pour améliorer la coordination et la coopération à travers le monde dans ces secteurs’’, précise la même source.
Selon le communiqué, des délégués de toutes les régions du monde ont pris part à ces importantes assises lors desquelles il a été procédé à l’élection du nouveau président et de deux Rapporteurs régionaux.
Le candidat des Etats Unis, Lance Thompson a été élu président tandis que Ishigaki Mitsuru du Japon a été élu pour la région Asie Pacific, relève la même source notant que le Sénégal, à travers Ibrahima Nour Eddine Diagne, est régulièrement réélu rapporteur pour l’Afrique depuis 2006.
Le communiqué souligne que le Sénégal ‘’est en effet le plus actif en Afrique au sein des travaux de l’UN/CEFACT’’. Le pays ‘’a par ailleurs participé à plusieurs projets de facilitation du commerce par le biais de son guichet unique électronique ORBUS’’ et a également abrité le seul forum de l’UN/CEFACT tenu en Afrique, en novembre 2008.
Le mandat du rapporteur de l’UN/CEFACT pour l’Afrique sera mis à profit pour ‘’exhorter les acteurs de la facilitation du commerce en Afrique à utiliser plus intensivement les normes, les recommandations et les standards internationaux développés par l’UN/CEFACT pour faciliter les échanges de données et de messages structurés entre les différents systèmes informatiques des parties prenantes’’, assure la même source.