Menaces de mort: Les locaux du journal Les Echos surveillés par la police.
Le personnel du quotidien Les Echos, qui avait ébruité l’affaire du présumé viol dont Sonko serait l’auteur, a peur pour sa sécurité depuis vendredi.
Le journal annonce que le personnel fait l’objet d’appels téléphoniques de toutes sortes. « Certains pour savoir si nous mesurions la gravité de l’article qui a barré notre Une, d’autres pour nous traiter de tous les noms, allant même jusqu’à proférer des menaces et des insultes. Devons-nous faire de la rétention parce que simplement c’est Ousmane Sonko ? C’est cela la grande question… », se sont interrogés les journalistes.
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