Coup de sabot á la CAP pour être l’avocat des « diables »
La Coordination des Associations de Presse, exceptée l’Anpels, semble être l’avocat des « diables »
Après Pape Alé NIANG, C’est au tour de Pape Makhone NDIAYE de Walfadji de bénéficier du soutien aveugle de la CAP au nom de « la liberté de la presse », un terme devenu générique au sens de cette structure faîtière.
La CAP gagnerait á être plus crédible si elle jouait un rôle d’avant gardiste en rappelant á l’ordre certains confrères qui seraient aux antipodes des règles d’éthique et de déontologie qui régissent la presse voire la liberté de la presse. Liberté oui mais responsabilitéd’abord. L’intérêt supérieur de la nation est au dessus de tout intérêt corporatiste.
En constatant les dérapages quasi réguliers de journalistes sans broncher et en voulant être l’avocat « des diables’, la CAP mérite un coup de sabot.