Certains journaux rapportent que le Président de la République Macky
Sall, lors de la cérémonie de pose de la première pierre de la Maison des
transporteurs à Diamniadio, a désolé de l’attitude de gens qui aiment
tout corriger en français, qui s’emploient à tout bout-de-champ à
déformer ses propos. C’est devenu leur jeu favori, leur hobby, pour ne
pas dire leur unique boulot. A bien des endroits, le Président Macky Sall
a raison. C’est un constat indéniable. Les médias et les réseaux sociaux
sont envahis, comme dans une piste de danse d’un orchestre qui réussit
sa musique, par toutes sortes des danseurs. Certains dansent au rythme
de l’orchestre ; d’autres à leur propre cadence endiablée. Ce sont ces
derniers qui ne jouent que la musique de la médisance, de la
déformation, de la désinformation, de la transformation de leurs
suspicions et soupçons en certitudes.
Ces gens, férus des réseaux sociaux et ceux qui se shootent à l’opium
des médias s’alimentent au brouet des relations si torturées avec les
vérités. Les faits. Dans un dérèglement fou des convenances morales,
éthiques, sociales, politiques et républicaines, pour tout dire dans un
déni des règles du savoir-vivre. Certes, ils sont des milliers et des milliers
de Sénégalais qui sont dans les réseaux sociaux et dans les médias,
porteurs de vertus de la parole qu’ils ne font point pleurer. A côté, il y a
qui désole à juste raison le Président de la République, parce qu’ils sont
une poignée de spécialistes des verbatim du mensonge, de fabricants de
l’enfumage.
Il y en a qui sont dans l’incapacité, face au discours du Président de la
République, de débusquer le moindre aspect positif. Il leur faut, quand il
s’agit du Président Macky Sall s’oxygéner aux mensonges, aux
accusations, à la transformation forcée et forcenée de leurs doutes en
vérités. Sans passer par le crible de la raison. Et pourtant, le respect
envers les Sénégalais commence par l’usage de la langue, le choix
d’un lexique convenable en lieu et place de la production trop facile de torrents d’insultes et de mensonges qui cachent souvent une perclusion
de la réflexion, une anémie de la pensée.
Rien d’étonnant que ce soit là l’identité remarquée de ces accros des
réseaux sociaux qui se meuvent en daltoniens qui ne voient que du noir.
Rien que du noir. Seulement du noir. Qui ne président que l’enfer et
l’apocalypse. Les orages et les tempêtes. Les marées noires et les
naufrages. Friands du fiel, jamais du miel.
Cette espèce qui pollue l’Internet et prostitue les paroles et les vérités
dans les réseaux sociaux déshonore la pensée positive, la réflexion
instructive et le bon sens communicatif. Qui n’a pas, objectivement,
déceler le cynisme politique dans l’exploitation de la communication
présidentielle, les calculs politiciens à la petite semaine et à la petite
semelle, allant jusqu’à une volonté machiavélique de détruire notre socle
commun ? Régulièrement, certains se livrent à cet exercice désopilant
qui n’offre rien qui participe au progrès de notre pays.
DÉMOCRATIE ET ESPRIT CHEVALERESQUEEn 2012, ça les avait rendu dingues que Macky Sall ait ravi le pouvoir à
l’issue d’une campagne électorale et d’une stratégie de communication
rondement bien menées, après avoir tissé une solide histoire avec
l’immense majorité du peuple sénégalais. Ils croyaient qu’il n’était qu’une
bulle, un accident politique qui ne durerait que le temps d’un feu de
paille, «une légère brise qui passe». Que n’a-t-on pas entendu et lu
comme prédictions les plus sinistres annonçant des implosions de l’APR,
des explosions dans la coalition Benno Bokk Yakaar, des défaites à
chaque élection ? Chaque prédiction a été sanctionnée par des fessées
publiques par un peuple sénégalais, jamais pris à défaut dans son bon
sens, sa sagesse et sa capacité à faire la part entre l’ivraie électoraliste,
partisane et la bonne graine politique arrimée à une ambition de mettre
le pays sur la rampe de l’émergence.
Au bout du compte -et c’est ce qui rend encore leur rage plus tenace,
leurs tentatives de destruction et de déconstruction plus obstinées-, le
Président Macky Sall dont ils avaient sous-estimé et mésestimé, s’est
avéré un roc politique, un stratège dans la démarche et un leader
performant dans ses actions. Il renverse les quilles moisies de beaucoup
de ses adversaires encore dans les vieilleries politiques. Ceux-là, il les
ringardise par ses innovations, des programmes politiques visantl’émergence par son courage à affronter les nouveautés, comme dans le
cas de l’exploration et l’exploitation future du pétrole et du gaz,
nouveautés qui font souvent peur aux adeptes du «bougisme»,
autrement ceux qui veulent que tout bouge pour que rien ne bouge.
Ça les détraque, ces cloneurs de nos existences, que le Président Macky
Sall ait rempilé pour un deuxième mandat. Il leur fait vivre la hantise de
leur échec cuisant. Autant donc occuper le temps et les espaces des
réseaux sociaux à s’abimer à affubler sur ses dires et ses non-dits, à
transfigurer ses pensées et à se détruire à enfumer, déformer et
transformer. On comprend alors les vrais ressorts de leur acrimonie.
Qui plus est, les grossiers et autres prédicateurs de l’apocalypse sont
face à des initiatives politiques du Président Macky Sall, qui sont en train
d’avoir, entre autres effets, une recomposition politique dont l’ampleur,
la nature et la portée les échappent. D’où leurs réactions pavloviennes
qui tanguent entre «hystérisations» et recours aux diabolisations pour
essayer de duper l’opinion. On a envie de leur répéter comme Georges
Pompidou, alors aux Français : «arrêtez d’emmerder les Sénégalais !».
Quand on est si psychologiquement atteint, en politique, on ne peut
produire qu’un discours qui tord les faits et qui produit des troubles de
langage. C’est dans tous les cas une façon d’incarner une posture
crépusculaire du fait d’une maladie convulsive portée par une adversité
aveugle et aveuglante.
Au fond, l’adversité, la saine celle-là, en démocratie, n’a pas jamais été
incompatible avec l’esprit chevaleresque.
Sall, lors de la cérémonie de pose de la première pierre de la Maison des
transporteurs à Diamniadio, a désolé de l’attitude de gens qui aiment
tout corriger en français, qui s’emploient à tout bout-de-champ à
déformer ses propos. C’est devenu leur jeu favori, leur hobby, pour ne
pas dire leur unique boulot. A bien des endroits, le Président Macky Sall
a raison. C’est un constat indéniable. Les médias et les réseaux sociaux
sont envahis, comme dans une piste de danse d’un orchestre qui réussit
sa musique, par toutes sortes des danseurs. Certains dansent au rythme
de l’orchestre ; d’autres à leur propre cadence endiablée. Ce sont ces
derniers qui ne jouent que la musique de la médisance, de la
déformation, de la désinformation, de la transformation de leurs
suspicions et soupçons en certitudes.
Ces gens, férus des réseaux sociaux et ceux qui se shootent à l’opium
des médias s’alimentent au brouet des relations si torturées avec les
vérités. Les faits. Dans un dérèglement fou des convenances morales,
éthiques, sociales, politiques et républicaines, pour tout dire dans un
déni des règles du savoir-vivre. Certes, ils sont des milliers et des milliers
de Sénégalais qui sont dans les réseaux sociaux et dans les médias,
porteurs de vertus de la parole qu’ils ne font point pleurer. A côté, il y a
qui désole à juste raison le Président de la République, parce qu’ils sont
une poignée de spécialistes des verbatim du mensonge, de fabricants de
l’enfumage.
Il y en a qui sont dans l’incapacité, face au discours du Président de la
République, de débusquer le moindre aspect positif. Il leur faut, quand il
s’agit du Président Macky Sall s’oxygéner aux mensonges, aux
accusations, à la transformation forcée et forcenée de leurs doutes en
vérités. Sans passer par le crible de la raison. Et pourtant, le respect
envers les Sénégalais commence par l’usage de la langue, le choix
d’un lexique convenable en lieu et place de la production trop facile de torrents d’insultes et de mensonges qui cachent souvent une perclusion
de la réflexion, une anémie de la pensée.
Rien d’étonnant que ce soit là l’identité remarquée de ces accros des
réseaux sociaux qui se meuvent en daltoniens qui ne voient que du noir.
Rien que du noir. Seulement du noir. Qui ne président que l’enfer et
l’apocalypse. Les orages et les tempêtes. Les marées noires et les
naufrages. Friands du fiel, jamais du miel.
Cette espèce qui pollue l’Internet et prostitue les paroles et les vérités
dans les réseaux sociaux déshonore la pensée positive, la réflexion
instructive et le bon sens communicatif. Qui n’a pas, objectivement,
déceler le cynisme politique dans l’exploitation de la communication
présidentielle, les calculs politiciens à la petite semaine et à la petite
semelle, allant jusqu’à une volonté machiavélique de détruire notre socle
commun ? Régulièrement, certains se livrent à cet exercice désopilant
qui n’offre rien qui participe au progrès de notre pays.
DÉMOCRATIE ET ESPRIT CHEVALERESQUEEn 2012, ça les avait rendu dingues que Macky Sall ait ravi le pouvoir à
l’issue d’une campagne électorale et d’une stratégie de communication
rondement bien menées, après avoir tissé une solide histoire avec
l’immense majorité du peuple sénégalais. Ils croyaient qu’il n’était qu’une
bulle, un accident politique qui ne durerait que le temps d’un feu de
paille, «une légère brise qui passe». Que n’a-t-on pas entendu et lu
comme prédictions les plus sinistres annonçant des implosions de l’APR,
des explosions dans la coalition Benno Bokk Yakaar, des défaites à
chaque élection ? Chaque prédiction a été sanctionnée par des fessées
publiques par un peuple sénégalais, jamais pris à défaut dans son bon
sens, sa sagesse et sa capacité à faire la part entre l’ivraie électoraliste,
partisane et la bonne graine politique arrimée à une ambition de mettre
le pays sur la rampe de l’émergence.
Au bout du compte -et c’est ce qui rend encore leur rage plus tenace,
leurs tentatives de destruction et de déconstruction plus obstinées-, le
Président Macky Sall dont ils avaient sous-estimé et mésestimé, s’est
avéré un roc politique, un stratège dans la démarche et un leader
performant dans ses actions. Il renverse les quilles moisies de beaucoup
de ses adversaires encore dans les vieilleries politiques. Ceux-là, il les
ringardise par ses innovations, des programmes politiques visantl’émergence par son courage à affronter les nouveautés, comme dans le
cas de l’exploration et l’exploitation future du pétrole et du gaz,
nouveautés qui font souvent peur aux adeptes du «bougisme»,
autrement ceux qui veulent que tout bouge pour que rien ne bouge.
Ça les détraque, ces cloneurs de nos existences, que le Président Macky
Sall ait rempilé pour un deuxième mandat. Il leur fait vivre la hantise de
leur échec cuisant. Autant donc occuper le temps et les espaces des
réseaux sociaux à s’abimer à affubler sur ses dires et ses non-dits, à
transfigurer ses pensées et à se détruire à enfumer, déformer et
transformer. On comprend alors les vrais ressorts de leur acrimonie.
Qui plus est, les grossiers et autres prédicateurs de l’apocalypse sont
face à des initiatives politiques du Président Macky Sall, qui sont en train
d’avoir, entre autres effets, une recomposition politique dont l’ampleur,
la nature et la portée les échappent. D’où leurs réactions pavloviennes
qui tanguent entre «hystérisations» et recours aux diabolisations pour
essayer de duper l’opinion. On a envie de leur répéter comme Georges
Pompidou, alors aux Français : «arrêtez d’emmerder les Sénégalais !».
Quand on est si psychologiquement atteint, en politique, on ne peut
produire qu’un discours qui tord les faits et qui produit des troubles de
langage. C’est dans tous les cas une façon d’incarner une posture
crépusculaire du fait d’une maladie convulsive portée par une adversité
aveugle et aveuglante.
Au fond, l’adversité, la saine celle-là, en démocratie, n’a pas jamais été
incompatible avec l’esprit chevaleresque.
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