SÉNÉGAL / MAURITANIE : Un accord en 50 points
En clair, le projet sera soumis aux députés avant que le chef de l’Etat n’officialise la mesure. C’est dire que contrairement à ce qu’avançaient certains, il n’y a rien d’extraordinaire dans cette affaire et c’est un non-débat d’exiger la publication de cet accord qui sera public.
A vrai dire, ceux qui soutiennent que cet accord aurait été signé à la hâte se trompent lourdement puisque les négociations sont entrées dans leur phase active en 2016. En effet, ce n’est qu’en juin 2016, que Thierno Alassane Sall, alors ministre de l’Energie et son homologue Mohamed Salem Ould Béchir se sont accordés, après plusieurs tractations, sur le fait que les installations devant exploiter le gisement gazier allaient être situé sur l’Océan, à 8 km au large des côtes des deux pays.
Le gisement gazier en question se trouve à 125 kilomètres au large des côtes de nos deux pays.
Des sources autorisées renseignent que dans cette affaire, le Sénégal a négocié ferme en faisant appel à l’expertise nationale mais aussi internationale avec un cabinet conseil réputé qui l’a épaulé dans les négociations.
Les mêmes interlocuteurs ajoutent que l’accord comporte 50 points dont 48 proposés par le Sénégal et acceptés par la Mauritanie. Les deux autres points ont fait l’objet de discussions serrées avant que les deux parties ne les approuvent après des réglages de part et d’autre. L’un des points litigieux portait sur la taxation ou non du gaz une fois liquéfié. L’accord a été élaboré en adoptant les pratiques exemplaires de l’industrie en matière de développement des ressources transfrontalières, basées sur le Traité Frigg de 1976, accord historique entre le Royaume-Uni et la Norvège.
L’accord entre la Mauritanie et le Sénégal prévoit le développement du gisement de Tortue par le biais d’une unitisation transfrontalière, avec une répartition égale de départ (à 50/50) des ressources et des revenus, et un mécanisme pour futures re-déterminations des participations sur la base de la production effective et d’autres données techniques.
A vrai dire, ceux qui soutiennent que cet accord aurait été signé à la hâte se trompent lourdement puisque les négociations sont entrées dans leur phase active en 2016. En effet, ce n’est qu’en juin 2016, que Thierno Alassane Sall, alors ministre de l’Energie et son homologue Mohamed Salem Ould Béchir se sont accordés, après plusieurs tractations, sur le fait que les installations devant exploiter le gisement gazier allaient être situé sur l’Océan, à 8 km au large des côtes des deux pays.
Le gisement gazier en question se trouve à 125 kilomètres au large des côtes de nos deux pays.
Des sources autorisées renseignent que dans cette affaire, le Sénégal a négocié ferme en faisant appel à l’expertise nationale mais aussi internationale avec un cabinet conseil réputé qui l’a épaulé dans les négociations.
Les mêmes interlocuteurs ajoutent que l’accord comporte 50 points dont 48 proposés par le Sénégal et acceptés par la Mauritanie. Les deux autres points ont fait l’objet de discussions serrées avant que les deux parties ne les approuvent après des réglages de part et d’autre. L’un des points litigieux portait sur la taxation ou non du gaz une fois liquéfié. L’accord a été élaboré en adoptant les pratiques exemplaires de l’industrie en matière de développement des ressources transfrontalières, basées sur le Traité Frigg de 1976, accord historique entre le Royaume-Uni et la Norvège.
L’accord entre la Mauritanie et le Sénégal prévoit le développement du gisement de Tortue par le biais d’une unitisation transfrontalière, avec une répartition égale de départ (à 50/50) des ressources et des revenus, et un mécanisme pour futures re-déterminations des participations sur la base de la production effective et d’autres données techniques.
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