Ziguinchor: « Nous n’avons pas le droit de fermer les yeux et remercions le Président Macky Sall qui continue d’accompagner la Guinée Bissau »
Henry Ndecky coordonateur de DPC sur la situation qui prévaut an Guinée Bissau et au Burkina Faso: « Nous n’avons pas le droit de fermer les yeux et remercions le Président Macky Sall qui continue d’accompagner la Guinée Bissau »
Patron de la Dynamique de Paix en Casamance, Mr Ndecky est revenu sur la situation qui prévaut dans ces deux pays frères.
« En tant que jeunes Sénégalais nous n’avons pas le droit de fermer les yeux et c’est l’occasion pour nous de remercier le nouveau Président de la CEDEAO le Président Macky Sall qui continue d’accompagner la Guinée Bissau pour que son Gouvernement soit dans une paix » a-t-il estimé.
A son avis, ce qui se passe au Burkina Faso ne leur plait pas en tant que jeunes et qu’ils demandent à l’ensemble de sa population, de celle de toute la sous région de savoir négocier « que la population du Burkina Faso fasse preuve de maturité »
Il a saisi cette occasion pour lancer un appel aux différents organisateurs de la société civile nous avons mis un certain nombre de processus depuis un certain nombre d’année et nous lançons un appel aux anciens, aux jeunes, aux femmes d’aller à la table de mise en place de la table de concertation en Octobre prochain.
Nous avons décliné les missions, les stratégies la vision, les mandats et comment la société civile doit aller avec l’Etat du Sénégal, collaborer avec le MFDC et les populations.
Il indique aux autorités sénégalaises que la Dynamique de Paix a des ressources étudiants, professeurs magistrats et autres pour accompagner l’ensemble du processus.
Il a profité de ce moment solennel pour demander aux FONJIP, l’ANPEJ, l’ANRAC et autres structures de nouer un partenariat avec eux «parce que nous pouvons être une passerelle ».
« Une partie des jeunes a du travail, une occupation et nous pensons contribuer très sensiblement au retour de la paix en Casamance autour de la sous-région et créer un environnement ou chacun aura son mot à dire et participer au développement ».
Ibrahima Mamina Goudiaby
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