Toutes les radios communautaires du Sénégal s’engagent à diffuser les informations climatiques et météorologiques au bénéfice du monde rural.

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BOUNAMA DIEYE

Dans une logique de capitaliser le savoir-faire des radios communautaires pour assurer une communication de proximité accrue basée sur la diffusion des informations climatiques, l’ANACIM en collaboration avec l’Union des Radios Associatives et Communautaires du Sénégal (URAC) a organisé à Kaolack, un atelier de renforcement de capacités à l’endroit de 80 animateurs et journalistes et ceci sous l’égide du Programme « Climate Change Agriculture and Food Security » (CCAFS/CGIAR).

A travers cette session de formation, un journaliste ou un animateur de chaque radio communautaire a reçu un renforcement des capacités sur des questions techniques et des concepts liés au changement climatique, à la variabilité climatique et du temps, les incertitudes liées aux prévisions, la compréhension et à l’interprétation  des bulletins météorologiques, des politiques liées aux changements climatiques et des stratégies d’atténuation et d’adaptation à mettre en place etc.

En somme, les éléments fondamentaux basiques pouvant les aider à un meilleur partage d’une information climatique juste et à temps réel ont été livrés à ces relais de l’information  afin de les aider dans leur travail quotidien de communication et de sensibilisation. En définitive, ces informations livrées sont d’importance capitale et pourraient être utilisées par les décideurs, les producteurs, les techniciens et les populations pour  des prises de décision raisonnées et surtout dans la planification adaptées de leurs activités.

Qu’est-ce que c’est l’URAC ?

L’Union des Radios Associatives et Communautaires (URAC) est née de la fusion en 2009, de l’Associations des Radios et Projets de Radios Associations et Communautaires du Sénégal (ARPAC) et de l’Alliance des radios communautaires du Sénégal. Aujourd’hui, l’URAC regroupe quatre-vingt (80) radios communautaires, présentes dans les 14 régions du Sénégal. L’URAC est un cadre de concertation et d’actions qui d

Toutes les radios communautaires du Sénégal s’engagent à diffuser les informations climatiques et météorologiques au bénéfice du monde rural.

Dans une logique de capitaliser le savoir-faire des radios communautaires pour assurer une communication de proximité accrue basée sur la diffusion des informations climatiques, l’ANACIM en collaboration avec l’Union des Radios Associatives et Communautaires du Sénégal (URAC) a organisé à Kaolack, un atelier de renforcement de capacités à l’endroit de 80 animateurs et journalistes et ceci sous l’égide du Programme « Climate Change Agriculture and Food Security » (CCAFS/CGIAR).

A travers cette session de formation, un journaliste ou un animateur de chaque radio communautaire a reçu un renforcement des capacités sur des questions techniques et des concepts liés au changement climatique, à la variabilité climatique et du temps, les incertitudes liées aux prévisions, la compréhension et à l’interprétation  des bulletins météorologiques, des politiques liées aux changements climatiques et des stratégies d’atténuation et d’adaptation à mettre en place etc.

En somme, les éléments fondamentaux basiques pouvant les aider à un meilleur partage d’une information climatique juste et à temps réel ont été livrés à ces relais de l’information  afin de les aider dans leur travail quotidien de communication et de sensibilisation. En définitive, ces informations livrées sont d’importance capitale et pourraient être utilisées par les décideurs, les producteurs, les techniciens et les populations pour  des prises de décision raisonnées et surtout dans la planification adaptées de leurs activités.

Qu’est-ce que c’est l’URAC ?

L’Union des Radios Associatives et Communautaires (URAC) est née de la fusion en 2009, de l’Associations des Radios et Projets de Radios Associations et Communautaires du Sénégal (ARPAC) et de l’Alliance des radios communautaires du Sénégal. Aujourd’hui, l’URAC regroupe quatre-vingt (80) radios communautaires, présentes dans les 14 régions du Sénégal. L’URAC est un cadre de concertation et d’actions qui défend les intérêts matériels et moraux des radios communautaires par le plaidoyer et le lobbying. Elle identifie les besoins et les intérêts de ses membres et œuvre pour le renforcement des cadres juridiques et économiques favorables au développement d’un tiers secteur de la communication axé sur la communication de proximité et la participation citoyenne. L’URAC œuvre à contribuer au développement économique, social et culturel des terroirs ou elles sont implantées.

Entre autres objectifs, l’URAC se fixe comme objectifs de :

  • Faire de la radio communautaire un outil qui favorise la prise de parole des citoyens dans le débat public, en leur permettant de posséder et de contrôler leurs propres moyens de communication participative et pluraliste ;
  • Etre un cadre de concertation pour toutes les radios communautaires, qui crée d’une part les conditions favorables à la formation et au perfectionnement du personnel des radios membres et d’autre part des synergies pour des actions de plaidoyer.

Qu’est-ce qu’une radio communautaire ?

La radio communautaire est une radio associative, de proximité. Elle œuvre dans l’amélioration des conditions de vie d’une communauté bien précise. Contrairement aux radios privées commerciales et aux radios publiques, la radio communautaire fonctionne par l’expertise locale et ne doit pas générer de bénéfices.

La radio communautaire a un rôle de régulation des actions de la communauté où elle est installée d’où la nécessité  d’un bon ancrage communautaire. Le personnel de la radio  communautaire travaille de façon bénévole et apporte sa contribution symbolique au développement de la communauté. La radio communautaire  au service des populations locales, compte en partie sur l’appui technique, logistique et financier des acteurs locaux : collectivités locales, Projets et Programmes Partenaires Techniques et Financiers, ONG et l’Etat.

Pourquoi, est–il pertinent de former ces journalistes et animateurs des radios communautaires sur l’interprétation et la diffusion de l »information climatique et météorologique ?

Effectivement, il est pertinent de former les animateurs et les journalistes des radios communautaires sur ces questions du fait de l’impact décisif et opérationnel de l’information climatique sur les activités de développement agro-sylvo-pastorales et de pêche pour un développement durable. A cet effet, ces vecteurs de communication vont contribuer de façon significative à mettre à la disposition des acteurs ces informations d’aide à la prise de décision pour les activités de développement.

De plus, l’opportunité de former les animateurs et les journalistes repose en partie sur l’utilité des services climatiques dans la planification raisonnée et la prise de décisions adaptée à l’endroit, des décideurs, des producteurs agro-sylvo-pastoraux et halieutiques, et aussi des services techniques chargés de l’encadrement, du suivi et de l’appui-conseil des producteurs.

Les animateurs des radios communautaires au sortir de cet atelier se sont engagés à :

  • s’approprier l’information climatique et météorologique ;
  • donner l’information en temps réel ;
  • organiser au moins deux émissions mensuelles sur les informations climatiques et météorologiques ;
  • suivre l’impact de l’information climatique et météorologique dans son milieu proche ;
  • faire ressortir les avantages de l’information climatique et météorologique sur le secteur d’activité prédominant
  • diffuser des émissions sur les services de la météorologie pour convaincre les septiques

Voici quelques témoignages de participants :

  • Abdoulaye KHARMA, Adjoint au Préfet de Kaolack

Dans son discours d’ouverture à l’atelier de formation, Mr le Préfet a exhorté les journalistes et animateurs des radios communautaires de s’approprier du projet et d’assurer une large diffusion des informations climatiques à l’endroit des producteurs agro-sylvo-pastoraux et de pêche pour les relever les productions pour atteindre les objectifs du Plan Sénégal Emergent (PSE). Cette approche communicationnelle et participative attendue de vous va jouer un rôle prépondérant voire capital pour développer les terroirs et les exploitations familiales.

  • Balla Moussa SADIO Chef de Programme LAGHEM FM  103.2 Ndofane-Kaolack

Cette formation est venue à son heure, en ce sens qu’elle m’apporte un plus sur des représentations que je me faisais sur des questions relatives au changement climatique. Aujourd’hui, je me sens renforcer et conforter dans ma mission de sensibilisation de la population rurale et en particulier les paysans et les éleveurs qui ont besoin de certaines informations capitales pour la planification de leurs activités.

  • Souleymane Jules DIOP Journaliste au Niombato FM 91.1 Toubacouta/Fatick

J’aurais bien voulu que tous les journalistes et animateurs des radios communautaires du Sénégal fassent cette formation sur la question bien qu’on s’engage à faire la restitution à nos confrères. En ma qualité de journaliste dans une zone touristique et côtière du Delta du Saloum, je m’engage à sensibiliser et à informer à temps réel les pêcheurs, les paysans, les exploitants touristiques  sur les bulletins météorologiques que je vais recevoir régulièrement de l’ANACIM.

  • Leyti NDAYE Rip FM 88.7Nioro

Je suis aujourd’hui bien outillé pour accompagner les partenaires qui font de la riziculture pluviale. Les bulletins météorologiques que je vais désormais recevoir et régulièrement de l’ANACIM vont  apporter une contribution signification aux programmes agricoles dans la zone de Nioro que j’anime. Cette valeur ajoutée aura sans doute des effets sur le relèvement des rendements et par ricochet sur les productions agricoles.

  • Mandiaye BAO Djoloff FM 87.6 / Linguère-Louga

Les bulletins météo sont importants à plus d’un titre dans la zone sylvo-pastorale, les informations reçues peuvent aider les éleveurs transhumants pour leurs itinéraires mais aussi pour la protection de leurs familles et de leurs troupeaux. Je suis persuadé que si je ne diffuse pas ces bulletins j’aurais failli à des principes citoyens et déontologiques. En ce moment, je ne serais pas fier de moi, à cet effet, je voudrais pleinement exercer mon travail en partageant et en expliquant les bulletins météorologiques à tous les groupes d’acteurs, (voyagistes, agriculteurs, éleveurs, pasteurs, etc.

  • Fatou CISSE Oxyjeunes 103.4 Pikine Dakar

Je peux dire que cette formation m’a permis de connaitre les produits météorologiques élaborés par l’ANACIM qui pourraient aider les populations urbaines notamment celles de la banlieue de Dakar à faire face aux affres du changement climatique caractérisé par des inondations et la destruction de l’environnement. L’appel que je peux lancer est d’amener les populations à un changement de comportement citoyen qui prend en compte la dimension changement climatique.

  • Abdou Rahim BA Mbour FM 96.5

Ces bulletins météo que je vais recevoir de l’ANACIM me permettra en priorité de contribuer à la protection civile en sauvant des vies par la dissémination à grande échelle de ces information d’aide à la prise de décisions aux pêcheurs artisanaux. De plus, je vais devenir un relais communautaires pour une utilisation raisonnée de ces informations climatiques par tous les acteurs du développement (pêcheurs, touristes, agriculteurs etc.).

  • Idrissa Gabou 106.4 FM/Sédhiou – N’NADANDANGHOL

La météo était pour moi un secret, aujourd’hui j’ai une meilleure compréhension de cette science au service des communautés et de tous les secteurs d’activités ;

  • Mme THIAM Ndèye Amy SAL : Technicienne sup, Agrométéorologiste/ANACIM

A chaque fois que l’ANACIM nous demande de livrer des sessions formation vers les acteurs des différents secteurs d’activités sur les services climatiques, je me sens beaucoup plus utile car sachant que je contribue directement à diffuser les informations climatiques ainsi qu’à montrer l’utilité de la météorologie et l’intérêt qu’il y a à utiliser ses différentes applications.

Au sortir de cette formation destinée aux journalistes et animateurs des radios communautaires j’aurai l’espoir qu’ils seront mieux outillés en matière de changement climatique , prévisions météorologiques, interprétation des bulletins météorologiques et aussi en de stratégies d’adaptation d’atténuation face au climat qui change en continu.

Auteurs :

  • Bounama DIEYE, Direction de l’Agriculture/MAER, Point Focal de la Plateforme CCASA, Email bounama1968@gmail.com Tel : 00 (221) 77 531 93 62, 00 (221) 33 889 39 66
  • Dr Ousmane NDIAYE, Chef d Département Recherche Développement, Agence nationale de l’Aviation civile et de la Météorologie (ANACIM)/MTTA Tel 00 (221) 77 974 75 41 Email: ousmane.ndiaye@anacim.sn

M. Talla DIENG Président URAC Tel : 00 (221) 77 643 67 43 Email : diengtalla05@yahoo.fr, Union des Radios Associatives et Communautaires (URAC) du Sénégal, Dakaéfend les intérêts matériels et moraux des radios communautaires par le plaidoyer et le lobbying. Elle identifie les besoins et les intérêts de ses membres et œuvre pour le renforcement des cadres juridiques et économiques favorables au développement d’un tiers secteur de la communication axé sur la communication de proximité et la participation citoyenne. L’URAC œuvre à contribuer au développement économique, social et culturel des terroirs ou elles sont implantées.

Entre autres objectifs, l’URAC se fixe comme objectifs de :

  • Faire de la radio communautaire un outil qui favorise la prise de parole des citoyens dans le débat public, en leur permettant de posséder et de contrôler leurs propres moyens de communication participative et pluraliste ;
  • Etre un cadre de concertation pour toutes les radios communautaires, qui crée d’une part les conditions favorables à la formation et au perfectionnement du personnel des radios membres et d’autre part des synergies pour des actions de plaidoyer.

Qu’est-ce qu’une radio communautaire ?

La radio communautaire est une radio associative, de proximité. Elle œuvre dans l’amélioration des conditions de vie d’une communauté bien précise. Contrairement aux radios privées commerciales et aux radios publiques, la radio communautaire fonctionne par l’expertise locale et ne doit pas générer de bénéfices.

La radio communautaire a un rôle de régulation des actions de la communauté où elle est installée d’où la nécessité  d’un bon ancrage communautaire. Le personnel de la radio  communautaire travaille de façon bénévole et apporte sa contribution symbolique au développement de la communauté. La radio communautaire  au service des populations locales, compte en partie sur l’appui technique, logistique et financier des acteurs locaux : collectivités locales, Projets et Programmes Partenaires Techniques et Financiers, ONG et l’Etat.

Pourquoi, est–il pertinent de former ces journalistes et animateurs des radios communautaires sur l’interprétation et la diffusion de l »information climatique et météorologique ?

Effectivement, il est pertinent de former les animateurs et les journalistes des radios communautaires sur ces questions du fait de l’impact décisif et opérationnel de l’information climatique sur les activités de développement agro-sylvo-pastorales et de pêche pour un développement durable. A cet effet, ces vecteurs de communication vont contribuer de façon significative à mettre à la disposition des acteurs ces informations d’aide à la prise de décision pour les activités de développement.

De plus, l’opportunité de former les animateurs et les journalistes repose en partie sur l’utilité des services climatiques dans la planification raisonnée et la prise de décisions adaptée à l’endroit, des décideurs, des producteurs agro-sylvo-pastoraux et halieutiques, et aussi des services techniques chargés de l’encadrement, du suivi et de l’appui-conseil des producteurs.

Les animateurs des radios communautaires au sortir de cet atelier se sont engagés à :

  • s’approprier l’information climatique et météorologique ;
  • donner l’information en temps réel ;
  • organiser au moins deux émissions mensuelles sur les informations climatiques et météorologiques ;
  • suivre l’impact de l’information climatique et météorologique dans son milieu proche ;
  • faire ressortir les avantages de l’information climatique et météorologique sur le secteur d’activité prédominant
  • diffuser des émissions sur les services de la météorologie pour convaincre les septiques

Voici quelques témoignages de participants :

  • Abdoulaye KHARMA, Adjoint au Préfet de Kaolack

Dans son discours d’ouverture à l’atelier de formation, Mr le Préfet a exhorté les journalistes et animateurs des radios communautaires de s’approprier du projet et d’assurer une large diffusion des informations climatiques à l’endroit des producteurs agro-sylvo-pastoraux et de pêche pour les relever les productions pour atteindre les objectifs du Plan Sénégal Emergent (PSE). Cette approche communicationnelle et participative attendue de vous va jouer un rôle prépondérant voire capital pour développer les terroirs et les exploitations familiales.

  • Balla Moussa SADIO Chef de Programme LAGHEM FM  103.2 Ndofane-Kaolack

Cette formation est venue à son heure, en ce sens qu’elle m’apporte un plus sur des représentations que je me faisais sur des questions relatives au changement climatique. Aujourd’hui, je me sens renforcer et conforter dans ma mission de sensibilisation de la population rurale et en particulier les paysans et les éleveurs qui ont besoin de certaines informations capitales pour la planification de leurs activités.

  • Souleymane Jules DIOP Journaliste au Niombato FM 91.1 Toubacouta/Fatick

J’aurais bien voulu que tous les journalistes et animateurs des radios communautaires du Sénégal fassent cette formation sur la question bien qu’on s’engage à faire la restitution à nos confrères. En ma qualité de journaliste dans une zone touristique et côtière du Delta du Saloum, je m’engage à sensibiliser et à informer à temps réel les pêcheurs, les paysans, les exploitants touristiques  sur les bulletins météorologiques que je vais recevoir régulièrement de l’ANACIM.

  • Leyti NDAYE Rip FM 88.7Nioro

Je suis aujourd’hui bien outillé pour accompagner les partenaires qui font de la riziculture pluviale. Les bulletins météorologiques que je vais désormais recevoir et régulièrement de l’ANACIM vont  apporter une contribution signification aux programmes agricoles dans la zone de Nioro que j’anime. Cette valeur ajoutée aura sans doute des effets sur le relèvement des rendements et par ricochet sur les productions agricoles.

  • Mandiaye BAO Djoloff FM 87.6 / Linguère-Louga

Les bulletins météo sont importants à plus d’un titre dans la zone sylvo-pastorale, les informations reçues peuvent aider les éleveurs transhumants pour leurs itinéraires mais aussi pour la protection de leurs familles et de leurs troupeaux. Je suis persuadé que si je ne diffuse pas ces bulletins j’aurais failli à des principes citoyens et déontologiques. En ce moment, je ne serais pas fier de moi, à cet effet, je voudrais pleinement exercer mon travail en partageant et en expliquant les bulletins météorologiques à tous les groupes d’acteurs, (voyagistes, agriculteurs, éleveurs, pasteurs, etc.

  • Fatou CISSE Oxyjeunes 103.4 Pikine Dakar

Je peux dire que cette formation m’a permis de connaitre les produits météorologiques élaborés par l’ANACIM qui pourraient aider les populations urbaines notamment celles de la banlieue de Dakar à faire face aux affres du changement climatique caractérisé par des inondations et la destruction de l’environnement. L’appel que je peux lancer est d’amener les populations à un changement de comportement citoyen qui prend en compte la dimension changement climatique.

  • Abdou Rahim BA Mbour FM 96.5

Ces bulletins météo que je vais recevoir de l’ANACIM me permettra en priorité de contribuer à la protection civile en sauvant des vies par la dissémination à grande échelle de ces information d’aide à la prise de décisions aux pêcheurs artisanaux. De plus, je vais devenir un relais communautaires pour une utilisation raisonnée de ces informations climatiques par tous les acteurs du développement (pêcheurs, touristes, agriculteurs etc.).

  • Idrissa Gabou 106.4 FM/Sédhiou – N’NADANDANGHOL

La météo était pour moi un secret, aujourd’hui j’ai une meilleure compréhension de cette science au service des communautés et de tous les secteurs d’activités ;

  • Mme THIAM Ndèye Amy SAL : Technicienne sup, Agrométéorologiste/ANACIM

A chaque fois que l’ANACIM nous demande de livrer des sessions formation vers les acteurs des différents secteurs d’activités sur les services climatiques, je me sens beaucoup plus utile car sachant que je contribue directement à diffuser les informations climatiques ainsi qu’à montrer l’utilité de la météorologie et l’intérêt qu’il y a à utiliser ses différentes applications.

Au sortir de cette formation destinée aux journalistes et animateurs des radios communautaires j’aurai l’espoir qu’ils seront mieux outillés en matière de changement climatique , prévisions météorologiques, interprétation des bulletins météorologiques et aussi en de stratégies d’adaptation d’atténuation face au climat qui change en continu.

Auteurs :

  • Bounama DIEYE, Direction de l’Agriculture/MAER, Point Focal de la Plateforme CCASA, Email bounama1968@gmail.com Tel : 00 (221) 77 531 93 62, 00 (221) 33 889 39 66
  • Dr Ousmane NDIAYE, Chef d Département Recherche Développement, Agence nationale de l’Aviation civile et de la Météorologie (ANACIM)/MTTA Tel 00 (221) 77 974 75 41 Email: ousmane.ndiaye@anacim.sn

M. Talla DIENG Président URAC Tel : 00 (221) 77 643 67 43 Email : diengtalla05@yahoo.fr, Union des Radios Associatives et Communautaires (URAC) du Sénégal, Daka

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