Scandale Guédiawaye : Il filme ses ébats avec l’épouse du Modou Modou et la fait chanter

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Une autre histoire de mœurs pour le moins renversante défraie la chronique dans les places publiques et lieux de conversation des populations de la banlieue dakaroise. Il s’agit d’une sulfureuse histoire qui concerne un commerçant du nom d’Abdou Lahat F, et une femme d’émigré, Tislim F. La police de Guédiawaye a été saisie d’une plainte par l’épouse de l’expatrié
Le partenariat entre deux commerçants a tourné au chantage sexuel. Abdou Lahat F, marié, utilisait les vidéos de ses ébats sexuels avec une épouse d’émigré, Tislim F, pour faire chanter cette dernière. Il a profité de ses escapades répétées dans une auberge de la banlieue de Dakar pour filmer avec son téléphone portable ses torrides séances de partie de plaisir avec la dame de l’expatrié.
Ainsi, il a entretenu à plusieurs reprises des rapports sexuels coupables avec la jeune femme. Tout débute par une collaboration vieille de quelques années entre le commerçant, Abdou Lahat, et la dame mariée, Tislim F. Celle-ci évolue dans le petit commerce de produits cosmétiques (encens…) et se rend souvent à la cantine du marchand pour s’approvisionner en marchandises.
De fil en aiguille, elle sympathise avec son fournisseur qui lui fait parfois des cadeaux et finit par lui déclarer sa flamme. La jeune femme tergiverse et accepte l’offre de son nouveau partenaire en affaires. Ils commencent alors à vivre pleinement leur idylle en toute discrétion et se donnent souvent rendez-vous dans une auberge de la place pour prendre leur pied. Mais, lorsqu’ils se retrouvent dans un coin privé pour une séance de jeu de jambes en l’air, Abdou Lahat profite de l’occasion et filme avec son téléphone portable les moindres détails de ses ébats sexuels avec sa dulcinée de femme mariée.
Sans pour autant éveiller le moindre soupçon de la dame. Mais, à force de forniquer, l’épouse de l’expatrié prend conscience de son acte d’adultère et décide de mettre un terme à sa relation coupable avec son fournisseur de commerçant. Ce dernier – ayant déjà pris goût à la chose – refuse d’entendre cela de cette oreille et jure de se venger. Il montre alors les images de leurs ébats sexuels à la jeune femme et menace de les poster sur Internet. Celle-ci craint d’être la risée de la localité et surtout de sa belle-famille et continue à se donner au marchand.
Mais, n’en pouvant plus, nous dit-on, elle prend son courage à deux mains et raconte sa mésaventure aux parents de son mari d’émigré qui l’accompagnent au commissariat de police de Guédiawaye où elle dépose une plainte pour chantage. Les éléments du commissaire Bécaye Diarra – sous la houlette du chef de la sûreté Adramé Sarr – concoctent un plan et demandent à la bonne dame de fixer un rendez- vous au maître-chanteur dans l’auberge. Ce qui fut fait.
Les flics montent pendant ce temps une planque autour du lieu de détente et guettent l’arrivée des amants. Qui débarquent à bord d’un véhicule et se dirigent vers ladite auberge. Les policiers en civil entrent en action, interpellent le commerçant et lui passent la paire de menottes.
A la police, l’épouse de l’émigré soutient avoir agi de la sorte sans pour autant se rendre compte de ses actes. Elle pense avoir été victime d’un envoûtement qui, selon elle, la poussait souvent à se plier aux quatre volontés d’Abdoulahat. Tandis que le mis en cause a reconnu les faits incriminés sur toute la ligne et soutient avoir toujours eu un béguin pour la dame lors de leur première rencontre. Il a été déféré cependant, avant-hier, au parquet pour chantage. Toutefois, on nous apprend que le délit d’adultère n’a pas été retenu dans cette affaire d’autant que le mari de la victime n’a pas pu déposer une plainte au commissariat.

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