En s’inclinant face à Joe Biden lors de l’élection présidentielle, Donald Trump a perdu bien plus qu’un scrutin. Son départ de la Maison Blanche le 20 janvier signifie aussi la fin de son immunité présidentielle, qui le protège depuis quatre ans de toutes poursuites judiciaires.
Sans ce bouclier judiciaire, une tornade de plaintes (fraude fiscale, harcèlements sexuels…) pourrait s’abattre sur le président républicain déchu. Face à cette menace, le milliardaire brandit la possibilité de s’accorder la grâce présidentielle. « J’ai le droit absolu de me gracier moi-même », écrivait-t-il déjà en 2017, selon France 24.

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